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 slow burn (kendall)

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Zachary Lefebvre
COMPTEUR EN MARCHE + just break the rules
Zachary Lefebvre
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J'ai posé mes bagages en ville le : 01/12/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 15 fois ce qui m'a fait gagner : 69

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Sujet: slow burn (kendall)    Ven 4 Déc - 0:22

Comme un roi surplombant ses sujets, t'es assis sur le fauteuil bien trop moelleux et bien trop cher. Les jambes écartées, pupilles dilatées. T'as un verre de whisky trente ans d'âge entre les doigts, un sourire tordu sur les lèvres. La musique bourdonne dans tes oreilles, et les jeux de lumière te donnent mal au crane. Douleur que tu assommes d'une gorgée mal calculée. Tu t’essuies la bouche d'un revers de la main, ordonnant au mec qui se trouve à côté de toi de te resservir. Ce qu'il fait. T'as pas un mot poli, surtout pas. Devant toi des presque adolescentes qui se trémoussent dans des jupes bien trop courtes pour paraître décentes. Mais assez pour que vous vous rinciez l’œil, toi et la bande de mâles qui occupent la pièce. Ça pue la testostérone à des kilomètres. La soirée se passe chez un type que tu connais à peine, le genre de gars friqué dont les parents ont abandonné le domicile pour une durée indéterminée. L’hôtel particulier qu'il occupe est tellement énorme que tu serais capable de te perdre en allant aux chiottes. Des heures que tu es arrivé, des heures que tu as avalé tes premiers cachetons. Des heures que tu n'as pas pris un rail - ou alors, des minutes ? - tu ne sais plus. Mais t'as les cernes jusqu'au chevilles, la gueule d'un déterré. Il n'y a que ta chemise hermès qui t'offre une prestance digne de ce nom. Très vite tu t'allumes une nouvelle cigarette, les conversations tu les écoutes qu'à peine, et depuis trente minutes tu réponds toujours à côté de la plaque. Trop occupé à te demander quand est-ce que tu pourras enfin ramener mini-robe numéro un dans un coin. elle est pour moi. que te lance Paul,, ou Henry, en te serrant l'épaule fortement. Comme pour te dissuader de tenter une quelconque approche. Les sourcils froncés, tu l'observes alors qu'il ne tarde pas à disparaître à l'angle du couloir en très bonne compagnie. T'as le cerveau vide, tes neurones sont incapable d’émettre la moindre décharge électrique, te laissant inerte sur ce putain de fauteuil. Il se passe une bonne demie heure supplémentaire avant que tu ne te lèves maladroitement. Ton pas est mal assuré, et la tête te tourne quelques secondes avant que tu ne trouves un réel équilibre. Poussant quelques corps -tout aussi vides que toi- sur ton passage. La main appuyée contre le mur, ton verre dans l'autre tu titubes jusqu'à la cuisine. Une des cuisines. Quand tu y arrives, enfin celle-ci est vide. Lumière éteinte, il n'y a que le frigo que tu viens d'ouvrir pour éclairer ta tronche. Tu fouilles, tu sais même pas ce que tu cherches. C'est de la vodka que tu sors comme s'il s'agissait d'un trésor. enfin ! t'exclames-tu ouvrant le bouchon après avoir jeter ton verre dans un coin. C'est au goulot que tu dégustes l'alcool transparent. Y'a des mains qui apparaissent sur ton torse, t'arques les sourcil. tu te retournes, tu tombes nez à nez sur une blonde, moulée dans une robe siglée ysl. Tu l'observes de haut en bas. je te cherchais partout. souffle-elle contre tes lèvres. Son haleine chaude pue la vodka, mais t'en as pas grand chose à faire. Elle vient frotter son nez contre le tiens, comme une enfant, tu grimaces. Tu re-bois une gorgée, alors que son corps se presse contre le tiens. Sa main vient se saisir de ton entre-jambe. Tu te crispes. Il ne t'en faut pas plus. Tu la pousses sans la moindre délicatesse contre le plan de travail, te débarrassant de la bouteille. T'agrippes son fessier et la dépose comme un vulgaire pantin sur le marbre froid. Tu ne la connais pas. Elle ne te connait pas, enfin, t'en sais rien. Mais y'a ses doigts qui jouent avec tes cheveux, son bassin qui se fait insistant et tes mains qui remonte sa robe juste assez pour pouvoir en profiter. Elle t'embrasse, t'as la gerbe. A la hâte tu défais ta ceinture, t'as le caleçon mi-cul quand tu fais ton affaire. Sans grande discrétion. A l'image d'un animal en rut, tu te sers de la jeune femme pour combler tes frustrations les plus anciennes. Et ton taux d'alcoolémie ne t'aide pas à faire les choses en douceur. Peut-être qu'elle a seize ans, peut-être qu'elle a la vingtaine. T'y as même pas réfléchis. Tu te sers, et une fois que ce sera fini tu remontera vulgairement ton pantalon et tu partiras sans lui adresser le moindre regard. Et elle racontera à toutes ces copines quel connard tu as pu être. Quel piètre amant aussi. Alors tes mouvements sont plus saccadés, pour finir vite. Vite fait mal fait. T'es même pas sûr que la porte soit fermée. Y'a la lumière faiblarde qui s'allume. putain ! et toi tu hurles sans t'arrêter pour autant. on peut pas être tranquille ! ta la voix haletante, la rétine cramée et le manque de cocaïne se fait ressentir. Et blondie qui gémit comme une actrice de film x. Image navrante.
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Kendall Deaton
ANOMALIE + better being different
Kendall Deaton
ANOMALIE + better being different

J'ai posé mes bagages en ville le : 13/11/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 100 fois ce qui m'a fait gagner : 162 Sinon vous avez remarqué je ressemble à : tmh

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Sujet: Re: slow burn (kendall)    Ven 4 Déc - 21:51

burn baby burn

Les yeux fermés. La conscience envolée. Tu te laissais faire, là, contre ce mur. Ces lèvres inconnues dans ton cou. Un soupire qui s'échappait. Inconsciente. Tu ne voyais rien. Tu n'entendais rien. Tu ne sentais que ces lèvres contre ta peau, ces mains vagabonder le long de ton corps. Son torse plaqué contre le tien. Tu avais perdu toute notion. De temps. De lieu. Tu ne savais pas où tu étais. Tu ne savais pas non plus quelle heure il était. Combien de temps avais-tu passé contre ce mur, entre ses lèvres et ses doigts. T'en savais rien. Mais t'en avais que faire. T'étais juste là, perdue. Poupée sous ses mains insistantes. Étouffée. Puis soudain, plus rien. Tu respirais enfin. Et tu entendais cet gloussement lointain. Et ce cri de rage aussi. Ces paroles violentes lancées sur ce mec qui avait osé poser ses mains sur toi. Tu ouvrais lentement tes yeux. Éclat de lumière. Tu te retrouvais éblouie. Aveuglée. Puis enfin, tout le bruit te parvint. La musique. Les cris. Les rires. Tu étais dans une boîte. Laquelle? T'en savais rien. Comment t'étais arrivée là? Mystère. Tu te décollais alors du mur et titubais jusqu'au milieu de la foule. Tu restais là, entre tous ces gens qui sautaient, dansaient, te bousculaient. Et à ton tour, tu te mis à bouger. Ta tête. Ton corps. Tu te sentais à peine. Puis soudain, une main t'attrapa. Encore. On te criait dans l'oreille. On te disait quelque chose. Tu comprenais rien, mais tu te laissais quand même entraînée par cette main. Une main féminine. Une cascade de cheveux bruns. T'avais l'impression de la connaître. Ah mais oui, c'est Anyssa. Alors, tu la suivais. Tu te laissais entraînée. En tout confiance. Et tu refermais tes yeux.

Tu les ouvrais à nouveau. À nouveau, tu te retrouvais dans un endroit inconnu. Tu voyais des gens à côté de toi, enfoncés dans des fauteuils, dans des canapés. Amorphes. Comme toi. Mais toi, tu n’étais pas assise, tu étais couchée. Tu prenais de la place. Et t’étais quelque part que tu connaissais pas. Alors, tu te relevais. Tu observais, le regard vague. Les yeux vides. Tu voyais Anyssa se trémousser sur cette table basse. Et tu voyais aussi une poudre blanchâtre. Une fine ligne. Oh. Un billet aussi. Tu te servais alors, sans aucune gêne. Inconsciente. Et tu la sentais te piquer la narine, cette poudre, puis tout ton être. À nouveau, le vide. Puis soudain, ton ventre. Il réclamait quelque chose. Il gargouillait aussi. Il se passait un truc bizarre. Tu te levais alors. Et tu chancelais, retombant dans le canapé. Deuxième essais. Tu retombais. Un soupire. Tes jambes étaient molles. Tu les sentais à peine. Ou plutôt, tu sentais ces fourmillements. Ils étaient désagréables. T’avais envie de les frapper ces fourmis. De les tuer. Parce qu’ils avaient osé grimpé sur tes jambes. Mais à nouveau, ton ventre se manifesta. Un troisième essaie. Ce fut la bonne. Tu ne tombais pas. Et lentement, tu te mis à marcher. Tu sortais de ce qui semblait être le salon. Tu te dirigeais vers un endroit, un lieu qui pourra te satisfaire. Tu savais pas où était l’objet de ta convoitise. Alors, tu fouillais partout. Une pièce après l’autre. Au bout de quelques minutes, tu rentrais dans une énième pièce. T’allumais la lumière. Et là, tu le vis. Enfin. Il était là. Tout près de toi. Et sans attendre, tu accourais. Et tu ouvrais le frigo, sans prendre en compte les personnes qui étaient dans la pièce. Tu ne les voyais pas. Tu ne les entendais pas non plus. Tu ne voyais que ce qu’il y avait sous tes yeux. De la bouffe. Et sans même demander, tu te servais, une nouvelle fois. Tu sortais tout ce qui t’appelait. De la glace. Une cuisse de poulet. Et un Magnum. Oh oui, tes cornets de glace préféré. Tu te laissais alors entraînée par le plaisir. Un croc. Un gémissement s’échappa de tes lèvres tandis que tu sentais le chocolat et la vanille fondre sur ta langue. Pur bonheur. Pur extase. Encore mieux qu'un orgasme. T’étais satisfaite. Et dans tout ça, tu n’avais toujours pas remarqué la meuf à moitié nue, prise comme une chienne par un phoque en rut, sur cette table, juste sous tes yeux. Inconsciente.

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Zachary Lefebvre
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Sujet: Re: slow burn (kendall)    Dim 6 Déc - 21:12

Y'a la lumière qui s'allume, et toi qui pète un plomb à l'encontre de l'ombre qui se faufile.
T'as les cheveux dans tout les sens, c'est blondie qui te décoiffe à coup de griffes. Toujours entre ses cuisses, t'as du mal à concentrer ton attention. Pourtant quand Elle passe à côté de toi, y'a son odeur qui te frappe. Ces gestes, mal assurés, tu les connais. Kendall, Kendall qui ouvre le frigo brusquement, Kendall qui te remarque même pas, Kendall qui fouille, Kendall qui croque. Tu fronces les sourcils, tu te dévisses le cou pour pouvoir la regarder alors que tes doigts sont enfoncés dans les cuisses de la salope. Qui d'ailleurs saisi ton visage, pour te forcer à poser tes yeux sur elle. T'as pas envie. Mais tu cesses pas ton manège pour autant. Elle gémit, et t'as envie de lui foutre a main sur la bouche. Qu'elle se taise, elle te déconcentre. Ou alors est-ce la belle brune. T'as les mâchoires serrées à l'idée qu'elle n'ait même pas poser les yeux sur toi. Alors tu te retires, tu remontes ton froc, t'es même pas frustré, t'as plus envie c'est tout. Et l'autre, ses jambes encore écartées qui ne comprend pas. Qui te questionne d'un œil. c'est bon, dégage. siffles-tu entre tes dents. Mauvais. T'attends même pas de réponse, tout ce que tu pourrais avoir d'ailleurs c'est une gifle dans ta petite gueule d'ange. Tu lui tourne le dos sans plus attendre, reluquant les fesses de la brune avec insistance. C'est un affront. Et tu lui fais remarquer en agrippant son bras fermement pour la forcer à te faire face. Tes yeux azurs se plantent dans les siens, mais t'es très vite attirée par la glace qui glisse entre ses lèvres. Ça t'arrache un frisson incontrôlable. Quand madame est dans les parages, t'as l'impression d'avoir des œillères. Il n'y a plus rien qui existe. Kendall occupe tout ton champ de vision. Elle est la femme que tu suis à la trace. Celle qui s'enfuit quand elle sent ton odeur. Celle qui rejette ton corps quand il s'impose au siens, celle qui laisse ses marques sur ta peau. T'as quelques cicatrices. Une profonde. qu'est ce que tu fais là ? une question qui ne devrait pas sortir de ta bouche. Une question illégitime. Mais c'est sorti tout seul. Tu l'observes, elle sent l'alcool. Tu sais qu'elle n'est pas dans son état normal, tout comme toi. Tu grimaces alors que tes doigts s'enfoncent un peu plus dans sa chaire.
tu ne prends même pas le soin de me gratifier d'un bonsoir. sourire ravageur sur le visage, alors que l'envie de rire n'est pas présente. Les muscles de ta mâchoire se contractent, t'as envie de savoir comment elle est venue ici. Pourquoi? Avec qui ? Pourquoi tu ne l'as pas vue avant ? Mais tu restes silencieux, attentif. L'envie de boire refait surface.
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