| (F/M) Famille Nazarov - 2/2 | |
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Maks Nazarov COMPTEUR EN MARCHE + just break the rules
| Sujet: (F/M) Famille Nazarov - 2/2 Sam 28 Nov - 19:28 |
| | NOM › Fils cadet des Nazarov, tu n'es pas réellement le dernier, une sœur clos le quatuor. Tu n'es ni le premier, ni le dernier, au milieu, une place peu enviable. PRÉNOM › au choix, mais bien évidemment, un prénom 100% Russe. SURNOM › au choix. ÂGE › 23 ans, encore jeune, fougueux, tu es homme passionné, tu ne fais pas dans la demi-mesure, tu aimes ou tu n'aimes pas, noir ou blanc, le gris n'existe pas. DATE & LIEU DE NAISSANCE › au choix, à Saint-Pétersbourg. ORIGINES & NATIONALITÉ › 100 % Russe, la vodka coule dans tes veines. Ton accent est pratiquement inexistant, le français est ta seconde langue, presque une deuxième nature, mais tes papiers restent russe. STATUT CIVIL › au choix. ETAT DU COMPTEUR › anomalie, cf voir les annexes. ETUDES/METIER › trafiquant, vulgairement dealer, tes fournisseurs, c'est presque des amis, tu as un réseau long comme le bras, tu peux avoir ce que tu veux, quand tu veux, les nouveautés, les drogues douces, dures, et même les "interdites", c'est d'ailleurs celles que tu vends le mieux. La dernière tendance : la drogue Krokodil, importée directement de Russie considérée comme "la drogue la plus dangereuse au monde" : un mélange d’héroïne, de codéine, d’essence et de solvants de peinture, qui aurait des effets dix fois supérieurs à ceux de l’héroïne pour un coût trois fois moindre. (attention, cette drogue existe, les images peuvent être choquantes) ORIENTATION SEXUELLE › au choix, mais alors, si tu penses le faire gay ou bisexuel, je décline toute responsabilité SITUATION FAMILIALE › Entre un père taulard, seulement capable d'engrosser ta mère entre deux permissions, et une mère noyant sa peine, et son désespoir dans l'alcool, on ne peut pas dire que tes parents furent un modèle de réussite et d'équilibre. Tu as 2 frères, et une sœur, dont l’aîné est Maks. Lorsqu'on a jugé impensable de laisser des enfants vivre avec des parents inconscients, se fut le choc, et l'indignation. Séparé de ta famille à l'âge de 7 ans, tu as terminé dans une famille d'accueil avec ta petite sœur qui avait, à l'époque, 5 ans. Lorsque Maks atteint sa majorité, il récupère toute sa famille, direction la France, dans l'espoir d'une nouvelle vie. SITUATION FINANCIÈRE › Tu n'es pas l'homme le plus riche, mais tu vis bien. AVATAR › Daniel Bederov |
Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Prénom Nazarov 0 0 0 0 0 : 0 0 : 0 0 : 0 0JOURS HEURES MINUTES SECONDES - Les Nazarov ont un point commun : tremper dans des métiers louches, douteux. Entre l'aîné, Maks, gérant d'un club de strip-tease où des prostituées s'invitent, et à ses heures perdues, escroc de haut vol, Vito, le mac, gère les putes, part en croisade à la recherche de viande fraîche, il n'y a peut-être que Izzy, la froideur incarnée, qui reste assez sobre, travaillant pour son frère dans le club et vendeuse dans un sex-shop pour arrondir ses fins de mois. - Tu nourris une rivalité profonde envers tes frères, tu vis dans l'ombre, toujours en dernier plan, en quête d'une certaine reconnaissance, un besoin vital de les dépasser ou du moins les égaler ... L'affaire familiale, le petit business, c'est bien beau, mais tu as vraiment l'impression de servir leurs intérêts, d'être un pion. Malgré tout, tu aimes ta famille, c'est sacré. - Tu rêves d'une certaine indépendance, tu es un oiseau en cage, épris de cette envie de liberté. Tu as l'impression d'avoir des chaînes qui t'attachent à cette famille, tu es libre, sans vraiment l'être, les ombres de tes frères ne sont jamais bien loin. - Niveau caractère, comme le reste de ta famille, tu n'es pas le gendre idéal, tu as des défauts, peut-être plus nombreux que tes qualités. (à toi de voir ce que tu veux en faire)
Je ne serais jamais toi ft. Maks NazarovEntre les deux, c'est complexe, deux caractères brûlants, assez explosif, mais, tu en as peur, oui, parce que tu sais de quoi il est capable, il arrive toujours à atteindre ce qu'il désire. Tu l'aimes, il t'aime, mais jamais, il n'oserait montrer le moindre signe d'affectif, toujours froid, distant, il te protège contre toi-même car tu es peut-être ton principal ennemi sans même t'en rendre compte. Tu vis dans son ombre depuis toujours, il n'est jamais loin, toujours en train de te rabaisser, de te montrer que tu n'es rien sans lui, sans eux. Alors, tu le défies sans cesse, le menace, joue avec le danger, frôle sans cesse les limites du raisonnable, tu veux montrer que tu es un homme, que tu sais vivre, que tu as ta propre vie, tu n'es plus cet enfant qu'il pouvait protéger, non, maintenant, tu sais te protéger, même de lui. S'il souhaite t'imposer un style de vie, tu dis non, s'il désire t'élever socialement, tu dis non, tu veux faire ce qu'il te plait. Tu n'as pas le même but, la même envie que lui. S'il désire obtenir plus que tout la nationalité française, ou du moins des papiers européens, avoir une situation parfaite, pourquoi pas atteindre la noblesse, toi, tu t'en fiches de cette merde. Il ne t'imposera plus rien, non jamais. Et parfois, tu fais tellement l'inverse de ce qu'il attend de toi, que tu termines pas de perdre toi-même. . | Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère. ft. vitali nazarov Si Maks a toujours été la figure la plus autoritaire à tes yeux, Vito a toujours été le plus 'cool'. Tu sais qu'avec lui tu ne seras jamais emmerdé par un « code » arbitraire ; tu sais qu'il a toujours été très mal placé pour te faire la morale de toute manière. Avec lui, tu te sens plus à l'aise, plus proche même. Alors tu lui as toujours tout dit, confidence par confidence sans jamais omettre un quelconque secret. Toutefois, et bien que tu sois très complice avec lui, tu as imposé une rivalité entre vous ; une rivalité qu'il n'a jamais crue nécessaire lui qui ne voit aucune concurrence dans le business familiale justement. Pourtant, Vito a su construire un empire, et tu veux faire de même prenant exemple sur lui. Tu t'imposes donc des exigences. Tu veux être aussi bon, voir meilleur que lui … Et tu n'y arrives toujours pas. Ça te met à cran pour rien, contraste avec son laxisme légendaire. Lui il s'en fiche de tout ça, et bien que ça t'énerve ça t'amuses aussi. Il n'est pas comme Maks a toujours cherché le meilleur, à toujours vouloir plus. Comme lui, tu te fiches bien d'avoir les papiers français. Tu ressembles beaucoup à ton frère. Comme un modèle, tu le respectes. Or, tu le sens. Vito cache quelque chose depuis longtemps. Il s'éloigne de toi, s'éloigne de la famille, et même d'Izzy alors qu'il a toujours eut une relation privilégiée avec elle. Qu'est-ce qui se passe ? Tu aimerais le savoir, ça te démange, et si toi, tu es comme un livre ouvert pour lui, lui, c'est une muraille pour toi. Il ne se confie jamais, ne montre jamais quoi que ce soit. Que lui arrive-t-il ? | TITRE DU LIEN ft. nom du personnage Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Duis sodales porta massa elementum commodo. | TITRE DU LIEN ft. nom du personnage Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Duis sodales porta massa elementum commodo. |
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Vitali A. D. Nazarov ÂME SOEUR PERDUE + i lost someone
| Sujet: Re: (F/M) Famille Nazarov - 2/2 Dim 29 Nov - 0:04 |
| | NOM › Nazarov. Enfant de l'hiver, petite tsarine des temps modernes, elle porte un nom maudit et salit par la drogue ; par le sang, et les putes. Dès la naissance, elle n'a pas eu de chance. PRÉNOM › Baignée dans un monde qu'elle n'aurait jamais dû connaître, l'environnement dans lequel elle vit n'est pas sain. Pourtant, Yuliya contraste, brille. Donné aux princesses, aux petites filles de grandes familles, ce prénom est pompeux, noble. Quant à Talya, il touche juste ; donné aux petites filles vifs d'esprit, à celles dont le caractère bouillonne d'impatience et de connaissance. SURNOM › « La crevette », c'est plus dénigrant qu'affectif, mais la petite a prit l'habitude à ce que son père l'appelle ainsi. ÂGE › Cela fait maintenant treize ans qu'elle contemple l'empire que son père a construit, qu'elle voit dans quelle déchéance sa famille trempe. DATE & LIEU DE NAISSANCE › Elle est née par une chaude journée d'été dans la belle capitale qu'est Paris. ORIGINES & NATIONALITÉ › Si la petite est d'origine russe, elle est née sur le territoire français, et est donc la seule Nazarov à avoir la chance d'avoir la nationalité française. STATUT CIVIL › Célibataire. Trop petite est l'enfant pour avoir un 'amoureux'. STATUT DU COMPTEUR › Toujours en marche. ETUDES/METIER › Petite écolière, elle est cependant très douée en danse classique. Elle veut devenir danseuse étoile. ORIENTATION SEXUELLE › Elle en sait pas encore, n'y a jamais réfléchi non plus. Toutefois, elle rêve princes charmants. SITUATION FAMILIALE › Compliquée. Son père est proxénète, sa mère qui l'a abandonné prostituée. Tandis que ses oncles sont pour le premier directeur de club de stip-tease et l'autre dealer, il n'y a finalement que sa tante qui soit un temps soit peu 'normale', bien qu'elle soit vendeuse dans un sex shop ... SITUATION FINANCIÈRE › Toujours sous le joug de son père, elle n'a jamais manqué de rien. On peut même dire qu'elle est gâtée. AVATAR › Laneya Grace. |
ONCE UPON A DREAM Talya Yuliya Nazarov 0 5 5 8 0 : 3 6 : 2 2 : 1 1JOURS HEURES MINUTES SECONDES - extrait:
Dix-sept prostituées ; Ce qu'on nomme l'amour n'est que l'alibi rassurant de l'union d'un pervers et d'une pute que le voile rose qui couvre la face effrayante de l'inéluctable Solitude. Je me suis caparaçonné de cynisme, mon cœur est châtré, je suis l'affreuse Dépendance, la moquerie du Leure universel. L'amour, c'est tout ce qu'on a trouvé pour aliéner la déprime post-coïtum, pour justifier la fornication, pour consolider l'orgasme. « J'ai vu comment tu regardais ta sœur ... » Si son accent venu tout droit des pays de l'Est était ravissant à ton oreille, les mots prononçaient furent, par contre, aussi douloureux que des coups de couteau. Et ce n'est pas parce qu'elle avait effleuré la vérité en te balançant à la gueule ce que tu refusais d'entendre qui faisait mal ; mais bien que malgré tout cet acharnement pour cacher l'évidence, la réalité t'a rattrapé. Encore. Ton déni n'a été qu'une fine couverture, et tes efforts furent tout aussi inutiles que cette couche de peinture sur ce beau visage de sibylle. Sofiya avait tapé juste. Tapé fort. Trop violemment. « Ta gueule. » Et la réponse fut tout aussi brutale ; sèche même. Pourtant, la divine créature était sans doute celle qui se rapprochait le plus d'une meilleure amie pour avoir vécu tant d'années à tes côtés, or, quelque chose s'est immiscé entre vous : le boulot. Le sien, en l’occurrence. « Tu sais comment me faire taire … Glavnyy. » Mais également le tien. Fille d'ouvrier devenue déesse de la nuit, la belle s'est vendue. Corps et âme. Pour le meilleur et pour le pire. Achetée par plusieurs porcs, et bradée par un sacré con … « Je ne couche pas avec la marchandise. » Sofiya était la première. La première pute d'une longue série, la première pierre de cet empire que tu allais bientôt construire. Ton premier succès aussi, mais également l'énième déception. Après tout, une pute restait une pute. Foncièrement aguicheuse, tentatrice dangereuse. « Tout bon vendeur doit connaître ses produits ... » Corps d'albâtre dont les formes se découpaient dans la morsure mordorée du soleil qui se couchait ; de ses mains tremblantes par une excitation encore jamais connue, elle fit glisser le long de son épaule les soieries de sa robe qui vint s'échouer à ses pieds, dévoilant alors sa chaude nudité. L'air était chaud, la tension ambiante, et pourtant, Sofiya ne put retenir ce frisson qui lui remonta le long du dos, galvanisant sa poitrine tout en donnant à son visage cet air tellement plus innocent qu'elle ne l'était habituellement. Et sous ton regard scrutateur qui ne cessa de la fixer avidement bien malgré toi, elle se mordit la lèvre maladroitement tout en amorçant un pas incertain vers ta personne. Tu savais qu'il n'était jamais bon de consommer ce qu'on vendait. Tu le savais. Pourtant, tu ne pus réprimer cet instinct primitif, et au lieu de penser avec ta tête, c'est ta braguette qui prit le relais. Ta libido en pleine crise d'adolescence aurait-elle cassé la gueule à ta raison encore trop jeune ? Peau contre peau, tu goûtas à la chaleur de son corps quand tu la fis venir à toi avec une évidente brusquerie, quitte à effaroucher la créature si peu craintive, qui dans sa nudité se présenta à toi. Lentement, tu la fis s'asseoir sur toi, se perdant dans la douceur de ses formes qui plaisaient à tes yeux, et dont tu ne pus t’empêcher de prendre possession par la caresse de tes doigts cajoleurs. Un nouveau frisson, et elle baissa les yeux rougissant par une timidité que tu ne pus comprendre par cet empressement qui te prit soudainement. Dominant, tu repoussas ses cheveux d’ébène vers l'arrière, humant le parfum délicat des fleurs d'hiver, et tu lui intimas d'une simple pression de se laisser faire. Soumise à cet exercice dont elle connaissait les secrets, elle se laissa guider. Impétueux amant, tu lui murmuras dans un souffle charmeur qu'elle était belle avant de la faire tienne. Et l’interdit que tu t'es imposé a alors explosé, laissant neuf mois plus tard, un joli paquet. « Cette petite fille … Elle est de toi. » Cette fille avait un don. Un don pour te mettre K.O après chaque mot. « Et tu comptais me le dire quand ? À sa majorité ? » Au fond, tu l'avais toujours su. À l'instant même où tu as posé ton regard sur ce poupon, tu l'as su. Le même nez, une couleur trop claire dans les yeux … Bien que sa mère soit une traînée, tu n'as pas douté, mais jamais tu n'as osé faire face à la vérité. Comme d'habitude. Comme toujours. « Jamais, mais … Je vais me marier avec un client, Glavnyy. » Salope …
Vingt-neuf prostituées ; Les enfants sont spontanément philosophes : ils posent des questions. Et les adultes ? Les adultes sont spontanément idiots : ils répondent. La clope au bec, t'amusant avec la fumée, parfois te voulant même artiste de ce cancer en bâton : un rond ici, une longue ligne passant en son intérieur, plusieurs volutes parfois qui te donnaient l'impression de voir ses formes diverses et variées, au même titre que tu aurais pu le faire en t'allongeant dans l'herbe pour regarder les nuages ; tu fus néanmoins interrompu. « Papa ... » Dans le ton de sa voix, tu devinas avec aisance ce qu'elle allait te demander. Employant toujours les mêmes mimiques avec toi, tu savais lire en elle comme dans un livre ouvert. Après tout, cette petite ; c'était la tienne. Ton ADN a dessiné finement ses traits, et l'eau de tes yeux a adouci les siens. Le sang vous liait, et les années ensemble vous rapprochait. Tu aurais pu la rejeter, la haïr comme tu haïssais sa mère. Faire comme si elle n'avait jamais existé en la refilant au premier orphelinat que tu aurais croisé ; ou la jeter carrément dans une poubelle comme la « mode française » le voulait ces derniers temps. Pourtant, le mot « famille » tu ne l'as jamais trahi. Ni hier, ni demain. T'es peut-être un enfoiré, mais tu as toujours tout assumé. Tes paroles, et tes actes. Si bien que tu n'as jamais pensé à l'abandon. Tu l'avais fait cette crevette parce que tu n'as pas su retenir ta braguette. Sa mère pouvait être la plus grosse des connasses, ça ne changeait rien aux faits : ton biscuit, tu l'as trempé. « Maman … Elle faisait quoi dans la vie ? » Talya n'avait jamais abordé cette question avec toi. Maligne, elle savait que tu devenais ronchon en abordant certains sujets qui fâche comme sa mère, les blondes, ou la dualité ancestrale entre le whisky et la vodka par exemple. Toutefois, bouille penaude, et regard incertain, elle se risqua à s'aventurer en terrain miné. Arrêtant donc quelques instants ton activité, entre autres, compter les billets que tu avais frauduleusement gagnés en exploitant tes filles, tu la regardas, et tu lui dis : « Elle vendait son cul pour le compte d'un connard. » Ta réponse avait le mérite d'être franche. Trop franche peut-être. Et pour cause. Tu n'as jamais su parler à cette gamine, tu n'as jamais su parler tout court. T'as toujours été trop cru ; même avec ta petite-sœur. Néanmoins, pour ta défense, la petite avait pris connaissance de ce concept si vendeur que tu offrais depuis un certain temps. Et si son père était mac', elle avait toujours eut pour « maman à mi-temps » des prostituées. Ainsi, Talya ne parut pas aussi surprise qu'une enfant ordinaire aurait pu l'être, mais pas moins déçue par contre. À cet instant, tu as peut-être brisé un de ses rêves, là où elle voyait sa mère plus … Plus quoi au juste ? « Et c'est quoi un connard ? » Te demanda-t-elle dans un russe parfait. « Quelqu'un comme moi. » Remettant cette cigarette entre tes lèvres, le bleu de tes yeux se mélangea doucement au vert clair des siens. Et si les yeux étaient les fenêtres de l'âme, alors la petite su ; toi tu n'en as jamais eu. « Un connard, c'est pas quelqu'un de gentil alors ... » Ce n'était pas une question. Esquissant un sourire face à la clairvoyance de l'enfant, tu lui glissas habilement un billet dans la petite poche de sa chemise. « T'es une Nazarov, pourtant, je suis persuadé que tu seras la première de cette famille à avoir un diplôme plus tard. » Tu étais persuadé qu'elle deviendrait psychologue pour parler de manière agaçante à la place de ta conscience. Ou pire, flic, vu toutes les questions qu'elle te posait sans arrêt. « S'il te plaît, deviens psychologue. » Oui, il valait mieux ! « Psychoblogue ? » ; « Non, psychologue. » Ce n'était pas un mirage. Elle était bien là. « Sofiya ... » 01 › Si sa mère l'a toujours désirée, ça n'a jamais été le cas pour son père qui l'a toujours vu comme un accident de parcours, une « giclée de trop » comme elle l'a souvent entendu dire. Et abandonnée par sa mère à la naissance, elle n'a eu comme seul repaire que ce père qui ne s'est pas souvent montré tendre avec elle. Il n'a jamais su s'y prendre, lui parler comme un père devrait le faire avec sa fille. Et de par son jeune âge, elle ne comprend que ce qu'elle voit, de ce fait, elle pense que ses oncles et sa tante l'aiment plus que lui ne l'aime, et elle a tort. 02 › Sa vie de famille n'est pas stable, du moins, n'est pas 'normale'. Son père est proxénète, elle ne sait toujours pas correctement l'écrire, mais elle sait ce que ça veut dire par contre ; son père ne lui ayant jamais rien caché, lui disant toujours tout de manière crue : papa vend des culs. Et elle a toujours été entourée par des prostituées ; quand elle n'est pas avec son oncle, le roi des magouilleurs, ou de sa tante, sans doute la personne la plus 'normale' de sa vie. 03 › Elle a toujours été curieuse en ce qui concerne sa mère, bien qu'elle n'ait jamais rien entendu de bien à son sujet. Papa dit que c'est la plus grosse des garces, tonton Maks dit que c'est une enfant de Satan. Pourtant, elle a toujours imagé cette dernière, la rendant plus belle, plus gracieuse. Et maintenant que son rêve est exaucé en ayant vu pour la première fois cette femme qui lui a donné la vie, elle reste perplexe. 04 › Ayant toujours eut un complexe vis à vis de son paternel, elle s'est toujours mit la pression. Yuliya doit être parfaite en tout point. Comme à l'école comme dans le sport. Elle adore la danse classique, c'est sans doute son sang Russe qui parle pour elle. BAD FATHER ft. vitali nazarov Elle est sa chaire et son sang ; et s'il a toujours eut beaucoup de mal à lui montrer, il l'aime d'un amour sans limite. Il ferait n'importe quoi pour sa « crevette », et bien qu'il soit assez pessimiste sur l’avenir de la petite, il aimerait quelque chose de meilleure pour elle. Il veut qu'elle réussisse là où il a échoué. Il veut que la vie soit belle, bien qu'elle n'ait pas eut une enfance parfaite. Vito n'est pas idiot, il sait très bien que vivre avec des putes n'est pas sain ; alors il essaye du mieux qu'il peut à maintenir le bateau à flot pour elle. Il veut qu'elle ait le meilleur sinon rien. Il veut la voir heureuse, atteindre ses buts, ses rêves bien qu'il sache qu'avoir un père proxénète est un très mauvais départ. Il aimerait lui faire comprendre, lui dire que d'être une Nazarov est un fardeau, mais il cherche toujours ses mots qui sont bien souvent trop durs pour une enfant de son âge, trop réaliste pour ne pas abîmer son innocence. Il ne sait pas lui montrer l'affection qu'il a envers elle, tout simplement. Toujours froid, voir dur avec l'enfant. Il ne le fait pas exprès, il est juste maladroit, et Talya ne le comprend parfois. Elle se sent souvent blessée à cause de son paternel parce qu'il va parfois trop loin. Or, ce n'est pas une gamine sans cervelle, elle sait que son père est un peu bourrin. | LOST TREASURE ft. sofiya r. saïanov L'enfant prodigue, l'enfant qu'elle a toujours désirée. Belle, radieuse, intelligente. Pourtant, ses choix l'ont obligé à l'abandonner. Car si elle l'a toujours profondément aimé, elle s'est vite rendu compte de la douloureuse évidence : cette enfant n'a jamais été le fruit d'un amour, du moins, d'un amour réciproque et mutuel. L'homme qu'elle aimait n'a jamais posé les yeux sur elle comme elle l'a toujours espérait. Avec affection, avec tendresse. Et si elle pensait enfin avoir quelque chose de ce connard sur patte en donnant la vie pour lui, elle n'a reçu qu'un peu plus de mépris. Cette naissance n'a pas été un cadeau, mais juste une « giclée de trop » pour Vitali. Et Sofiya a fini par abandonnée, déposée les armes. Elle s'est lâchement enfuie en laissant derrière elle ce qui comptait le plus. Et maintenant qu'elle est de retour, les regrets la flagellent. De manière douloureuse, de manière violente. Une décennie la sépare de sa fille, une décennie où elle n'a pas été présente. Et elle en veut terriblement à Vitali. Tout a toujours été à cause de lui. | Amour inconditionnel ft. maks nazarov Maks, il a toujours eu un faible pour les enfants. C'est peut-être sa plus grande faiblesse, celle qui montre qu'il reste malgré tout humain. Maks, il a été le grand frère, le père, la mère de cette famille, des Nazarov, il voulait tellement offrir un monde meilleur, sans connaître la misère, la peur, et les angoisses qu'il a pu vivre durant son enfance. Alors oui, il vise haut, très haut, il a tellement d'attente, d'espoir pour la génération suivante, il veut des origines nobles, de l'argent, les mettre simplement à l'abri. Alors quand son frère lui apprend qu'il est père, mais en plus d'une pute, c'est le monde qui s'écroule. Vito le déçoit, comment il a pu engrosser cette fille ? Mais à la surprise générale, cet enfant est accepté par Maks, elle a le sang des Nazarov qui coule dans ses veines, la famille c'est sacrée. Si Vito ne sait pas s'y prendre avec sa propre fille, ce n'est pas le cas de Maks, lui, il est a l'aise avec les enfants, cette innocence, cette intelligence que les enfants peuvent avoir, lui, il est admiratif. Alors même si elle part avec un handicap dans la vie (les origines de sa mère, peu importe, elle réussira, elle fera des études, elle sera armée contre la vie, et son parrain, Maks veille à lui apporter tout ce qu'elle aura besoin pour affronter la réalité. Entre les deux, c'est une belle relation, personne n'arrive à comprendre comme elle fait pour le rendre si doux, si gentil, un seul regard, et elle pourrait lui faire faire tout ce qu'elle veut. C'est sa faiblesse, un amour inconditionnel ... | TITRE DU LIEN ft. Isidora "Izzy" N. Nazarov Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Duis sodales porta massa elementum commodo. |
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