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 TAHAR & JEZ + late night wandering

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Jezabel E. Di Stéfano
ANOMALIE + better being different
Jezabel E. Di Stéfano
ANOMALIE + better being different

J'ai posé mes bagages en ville le : 21/11/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 92 fois ce qui m'a fait gagner : 73 Sinon vous avez remarqué je ressemble à : Bryden Jenkis

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Sujet: TAHAR & JEZ + late night wandering   Lun 23 Nov - 23:25



Les yeux fermés, tu ne voix plus rien. Tu n’entends plus rien d’autre que la musique. Ton verre à la main, tu continues de bouger, de tourner sur toi même. Tu souris. Tu ris même. Un peu trop fort certes mais avec les litres d’alcool que tu as ingurgité depuis le début de la soirée, il est même déjà très étonnant que tu n’aies pas déjà tout rendu dans la cuvette des toilettes. Tu as l’impression d’être sur un nuage. Ton nuage. Dans ces moments là, tu oublies tout. Ce qui t’entoure. Les gens. Tes problèmes. Tu oublies la réalité. Tu t’oublies. Il flotte une odeur de clope et d’herbe mêlée à celle-de l’alcool dans le petit salon de l’appartement. Ça n’est peut-être pas le meilleur moyen de passer un lundi soir. Mais vous n’avez vraiment pas de règles. Vous vivez à votre rythme. Tu ne penses jamais au lendemain. Et oh combien de fois cela t’a joué des tours ?! Mais tu es comme ça. Jeune fille insouciante. Rêveuse. Amoureuse de la vie. En quête perpétuelle d'émotions. Tu aimes te sentir vivre.
Tu ouvres enfin les yeux et sors de ta bulle. Maintenant, tu les vois, les autres. Tu entends aussi leurs voix. En réalité, la musique n’est pas si forte que ça. Tu es seule debout au milieu de la pièce, ton petit interlude dansant terminé. Tu portes ton regard sur ton verre à présent vide. Tu te diriges vers le bar de fortune aménagé pour la soirée pour te servir un nouveau verre. Tu portes ensuite longuement ton regard autour de toi. Il se pose d’abord sur tes deux amis se trouvant dans un coin de la pièce, dont la proximité te paraît étrangement dérangeante. Tu plisses les yeux et les quittes du regard. Debout face à la fenêtre, un grand blond que tu ne connais pas. La fumée de sa clope s’échappe paresseusement d’entre ses lèvres. Une clope ? Non. Cette odeur est beaucoup trop forte pour une simple clope. Tu détournes les yeux. Discrètement, tu vois cet autre qui range un petit sachet dans sa poche. Tu sais déjà de quoi il s’agit. Ce fameux élixir. La compagne des bonnes soirées. Cette enivrante poudre blanche. Et pourtant tu t’es toujours interdit d’y toucher. Tu soupires et détournes une fois de plus les yeux. Dans l’appartement flotte une étrange odeur entre dépravation, légèreté et déchéance. Et tu te fonds tellement bien dans ce triste tableau. Tu bois ton verre cul sec pour te faire oublier tes pensées morbides. Demain tout sera oublié. Oublier pour mieux recommencer.
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S. Tahar Al-Zahâr
VENDS ÂME SŒUR PAS CHÈRE
S. Tahar Al-Zahâr
VENDS ÂME SŒUR PAS CHÈRE

J'ai posé mes bagages en ville le : 15/11/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 454 fois ce qui m'a fait gagner : 141 Sinon vous avez remarqué je ressemble à : simoes l'bg

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Sujet: Re: TAHAR & JEZ + late night wandering   Mar 24 Nov - 18:06


 
Une soirée, alcool, droguée, fumée sale qui s’évaporent lentement des poumons souillés des gens autour de toi. Tu aimes cette ambiance, cet esprit de fête. Tu es cette oiseau de nuit qui préfère entendre la musique jusqu'à pas d’heure plutôt que d’entendre les oiseaux chanté le matin, tôt.. Beaucoup trop tôt. T’es un mec de la nuit, un mec du soir. De la fête. Pourtant t’as des responsabilités, surement beaucoup trop hautes pour toi et ta capacité mentale à assimiler les informations importantes. Tu vois ces gens, danser, collés serrés non pas par l’envie de se frotter comme sur un zouk love bien sensuel, limite, sexuel mais juste parce qu’il n’y a pas la place ici. Cet appartement dont tu ne connais même pas le propriétaire. C’est peut être la blonde qui te regarde depuis tout à l’heure, sa dégaine h&m immonde. Ou alors ce mec qui arrive à choper personne dans cette masse de belles filles aux fessiers carrément plutôt plats.  Enfaîte, tu t’ne branles. Tu veux juste partir, à ce moment la. Quitter, te casser d’ici, aller respirer l’air extérieur, avoir plus de place. La pollution du parisienne, meilleure que la fumée de clope, l’odeur de tabac froid qui stagnent dans les cendriers. Ta bière terminée à la main, tu t’avances, poussant les autres sans grande difficulté. Un passage, la blonde platine avec qui tu es venu ce soir. Une main sur son épaule, toute fine, fragile. Ce petit bout de femme que t’aimes bien, beaucoup même. Un sourire sur tes lèvres, tes cernes sous les yeux. La gueule d’un Tahar bourré. Ta bouche prêt de son oreille, le son de la musique qui masque légèrement ta voix masculine. Viens on s’en va ! Une affirmation, même pas une question. Tu veux qu’elle se suive, de toute manière tu ne la laisseras pas seule ici, sans toi. C’est ta Jezabel, hors de question que tu finisses la soirée sans elle en la sachant ici, compactée comme une sardine connétable. Ta main qui entoure son poignet, l’autre main qui attrape une autre bière avant de partir, de sortir de cet appartement qui te fait mal au crâne. Vous deux, dans le couloir de l’immeuble, ta main toujours sur elle, tu l’as lâche pas, tu veux même pas la lâcher mais enfaîte. Tu ne sais surtout pas que tu la tiens encore. Bourré, j’disais. T’aurais pu me dire que t’es potes c’était des types qui aiment bien s’coller comme ça. Tu lèves un sourcil. Quoi que, c’est pas con enfaîte. C’est l’excuse parfaite pour s’frotter à de belles choses.. des seins. Ou des culs.  C’est bien la seule chose qui se dessine dans ton fantasme actuellement. Mais bon, elles étaient toutes moches alors. Vous sortez de l’immeuble, l’air frais qui envahit tes poumons. Daaaamn, tu revis. Tu manques surtout de t’étouffer. La clope mon pote. La clope. Alors p’tit cul, on bouge où ? Ca caille trop la. Froid, fait froid` ; Et devines quoi ? C’est normal, c’est bientôt l’hiver chéri.
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Jezabel E. Di Stéfano
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Sujet: Re: TAHAR & JEZ + late night wandering   Mar 24 Nov - 23:35



Lorsque tu lèves les yeux, il apparaît dans ton champ de vision. Il vient vers toi. Tu en avais même oublié la présence de Tahar et pourtant, c’est toi qui l’as trainé ici chez un de tes amis. Tu le connais depuis quelques années maintenant. Depuis que tu es arrivée à Paris plus précisément. Au fil du temps, il est en quelque sorte devenu un de tes meilleurs potes. Vous vous ressemblez beaucoup, sur plusieurs points. Il est aussi casse-couilles que toi, ce qui n’est pas pour te déplaire. Tu aimes passer du temps avec lui parce qu’il te permet de te changer les idées et ce même lorsqu’il t’énerve. Car oui,  il a aussi ce don de te faire sortir de tes gonds. Tahar. C’est un jeune homme assez spécial. C’est un électron libre comme toi.
Tu sens sa main qui se pose sur ton épaule. Il s’approche. Tu l’écoutes sans le regarder vraiment. Les effluves d’alcool dans sa voix te font légèrement plisser le nez. « Viens on s’en va ! » Sans même te laisser le temps de répondre, il te prend par le poignet et t’entraine vers la sortie non sans récupérer une bouteille au passage. C’est tellement lui ! Il a toujours cette manie de faire ce qu’il veut, ce dont il a envie. Avec le temps, tu t’y es habituée. Tu te dis que c’est sûrement ce que ça doit faire d’avoir été élevé dans l’opulence. D’avoir appris à exiger plutôt qu’à demander. Tu ne lui en veux pas à Tahar d’être bien né. Tu ne lui en veux pas pour ce qu’il est. Loin de là. Tu fais avec. Comme toujours, tu composes avec les gens. Tu sais que toi aussi tu es une personne difficile à vivre. Tu plains ceux qui doivent te supporter tout le temps.
Il t’entraine dans le couloir d l’immeuble. Tu le suis sans rien dire, l’alcool t’ayant rendu un peu hagard. Peut-être qu’une bonne douche froide te réveillerait de ta léthargie. « T’aurais pu me dire que t’es potes c’était des types qui aiment bien s’coller comme ça. » Tu finis par te libérer de son emprise pour lui donner un coup de coude, les sourcils froncés. « Désolé si tu sais pas ce que c’est que de vivre dans un appartement de taille normale. Nous les gens du peuple avons l’habitude. » que tu lui rétorques en arborant un air faussement vexé. Tu ne peux t’empêcher de lever les yeux au ciel en entendant sa seconde remarque. Se frotter à de belles choses… Et le pire, c’est que tu ne peux pas mettre ça sur le compte de l’alcool car beuverie ou pas, Tahar reste fidèle à lui même. C’est un coureur de jupon. Un homme à femme. Tu l’as su dès que tu l’as rencontré. L’as-tu seulement vu avoir une vraie relation avec une jeune femme ? Une relation avec de vrais sentiments ? Non, tu ne t’en souviens pas. Lorsque vous sortez enfin du bâtiment, un long frisson parcourt ton corps. Tes poils se hérissent sous l’effet du froid de cette nuit parisienne. Tu sers un peu plus ta veste contre toi. Ça n’était peut-être pas une bonne idée d’opter pour un short malgré le collant que tu avais enfilé avec. « Le petit cul t’emmerde Al-Zahâr » Pourtant à sa remarque, tu ne peux t’empêcher de sourire. « Etant donné que c’est toi qui as eu la brillante idée de partir, je te laisse le soin de choisir. » Tu lui lances un regard moqueur. Tu n’as aucune idée de là où aller, surtout à cette heure de la nuit. Il est minuit passé. Un bar ne serait pas une bonne idée à moins que vous ayez envie de faire un coma éthylique. « Je t’aurais bien invité chez moi pour une dernière bière mais je pense que l’endroit n’est pas suffisamment bien pour toi. » Tu hausses les épaules l’air de rien avant de sortir une clope de ta poche. « T’as du feu ? »
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S. Tahar Al-Zahâr
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Sujet: Re: TAHAR & JEZ + late night wandering   Mer 25 Nov - 1:19


 
Sortir, chose faite. Son poignet entre tes doigts, tu avances sans hésiter, lé démarche pas très certaine et pourtant pleine d’entrain. L’alcool afflux dans ton sang, comme il a l’habitude de faire. Encore. Et Encore. Tu te plains, de cet endroit où elle ta trainée, cette soirée qu’elle ta fait passée. C’était pas mauvais, l’alcool, ton meilleur pote était invité aussi. Ca aurait fait bien longtemps que tu serais parti sans lui. Tu l’as suivrait jusqu’au bout du monde, elle, ses cheveux platine, son tatouage floral à l’épaule. La couleur de ses yeux. Tu les as regardés, souvent, en détail. Ce sont les choses que tu regardes en premier chez une fille, son visage, ses yeux.. Le plus important. Bleu, clairs, accordés à sa peau tout aussi pâle. A croire que tes entouré d’une sorte de team fille blanc cul qui contraste bien avec toi, ton teint hâlé du rebeu. Désolé si tu sais pas ce que c’est que de vivre dans un appartement de taille normale. Nous les gens du peuple avons l’habitude. Tu fronces les sourcils toujours en avançant vers la sortie, quelques marches d’escalier sautillés pour aller plus vite, faisant à moitié gaffe d’éviter la chute qui serait mortelle pour ta réputation de gars cool avec cette nana cool. Comment vous faites pour être pauvre comma ça ? Genre vous faite comment pour acheter vos fringues ? Parce que toi tu t’habilles dans les magasins de luxe parisiens, les grandes enseignes où les gens ont les yeux à vif juste en regardant le prix. Tu dois t’imaginer qu’ils travaillent véritablement pour s’acheter un jean, eux. De temps en temps encore s’il te plait. Fraicheur, ta joue toute rouge par le froid qui tape contre celle-ci. T’aimes pas l’automne. C’est moche, ca craint. T’aimes pas les feuilles par terre, la pluie , le vent. T’aimes pas sentir la neige arrivée cette pute de neige, tu veux pas la voir recouvrir paris. Tu veux le soleil, de la chaleur. Ta veste que tu zippes par devant, les mains très vites enfournées dans tes poches. La petite blonde qui se fou d’te gueule, de ton envie de quitter la soirée précipitamment. Trouves autre chose à faire, ouais, quoi ? Tu veux pas rentrer, ni chez toi, ni chez elle. Tu veux pas t’enfermer encore. Je t’aurais bien invité chez moi pour une dernière bière mais je pense que l’endroit n’est pas suffisamment bien pour toi. T’es yeux bleu pointés vers elle, tes lèvres cachées sous le colle de ton blouson. Tu m’étonnes ! T’es tellement sérieux dans ta phrase. T’es persuadé que son petit appartement n’a pas assez de valeur pour toi, c’est clair. Puis j’veux pas m’enfermer. Tu vois comme ça, on reste dehors, si t’as trop froid j’pourrais te passer mon blouson comme le super gentleman que je suis. Mon cuuuuul. Quoi que si, tu lui donnerais vraiment ton blouson. Sacrifice énorme de ta part que de donner ton super vêtement à une fille du bas peuple. Autant dire que le blouson, tu le jetteras à la poubelle juste après. Le luxe touche que le luxe. Tu lui donnes ton briquet, rapidement, ta main toute crispée par le froid. Tu t’approches d’elle. Petit bout de femme. Ton bras qui passe derrière sa nuque, sur le côté, serrant sur son épaule. Deux potes dans la rue, surement. Aller vient. Un pas devant l’autre, les rues de Paris, la nuit. Moins animées que le jour, c’est surement le meilleur moment d’ailleurs. Noir, personne.. Des bruits qui font peur, le silence qui laisse entendre sa voix presque trop forte alors qu’on chuchote. Tes deux doigts qui volent furtivement la clope d’entre ses lèvres, une taff, fumée dans tes poumons comme si tu n’en avais pas eu assez d’ailleurs. T’es trop jolie pour fumer comme ça. Tu vas devenir moche, a peau grise et les dents noires. J’aurais plus envie d’te pécho contre un mur après moi ! Tu ricanes, l’alcool. L’alcool et ses miracles. Tu pourrais presque être mon genre de fille tu t’rends compte.
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