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  (SKYLER) Tonight we burn

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Maks Nazarov
COMPTEUR EN MARCHE + just break the rules
Maks Nazarov
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J'ai posé mes bagages en ville le : 21/11/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 272 fois ce qui m'a fait gagner : 79 Sinon vous avez remarqué je ressemble à : Ben Barnes

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Sujet: (SKYLER) Tonight we burn   Sam 28 Nov - 19:04

The electrical fire is taking up my oxygen



Nuit glaciale, l'hiver s'installe doucement, transperce les corps emmitouflés comme de fine aiguille, une sensation de saisissement insupportable. Alors, la chaleur devient une obsession, un besoin vitale, si l'alcool en donne l'illusion, The Box ne promet pas seulement une rêverie, mais la promesse d'une ambiance enivrante, chaude, à la limite de la suffocation. Ce soir, la température extérieure sera en dessus des 0 c°, mais dans ton antre, elle explosera, en quelques secondes, tu seras transporté dans îles. Tes clients arrivent, des habitués, des curieux triés, scrutés à la loupe, et puis la découverte de cet endroit unique, un décor particulier, branché, chic, rétro, rien n'est dégradant, tout n'est que volupté, sensualité. Un autre monde, loin des clubs vulgaires de la capitale, toi, tu as su mettre en valeur le corps des femmes, en dévoilant juste ce qu'il faut pour rendre addict. Tes filles, elles sont bonnes, bandantes, désirables à souhait, rien n'est trafiqué, 100 % naturelle, et t'en es fier. Tu admires la marchandise, salue vaguement quelques personnes déjà absorbées par le show, et tu te diriges vers les coulisses discrètement. Tu vérifies les présences, la qualité de la "viande", une claque sur les fesses, et en piste. Tu ne faisais pas dans la dentelle, ces filles, rien de plus que des numéros avec un bel emballage, des nazarines comme dirait ton frère. Cette nuit, encore un fois, elles vont vendre un bout de leur âme, contraintes à se trémousser, s'effeuiller, se mettre à nu devant une bande d'animale. Toi, tu ne fais même plus attention à ces corps, tu les connais par cœur, chaque parcelle, le moindre détail, rien ne t'échappe. La peur de ces filles ? Toi. Seulement, toi. Si certaines osent te défier, elle finissent toujours pas subir ta colère. Elles pensaient vivre un rêve, elles vivent un cauchemar, et si elles entrevoyaient l'enfer, ce n'était rien face à ta rage qui se déchaine contre elles. Un monstre d'inhumanité, trop dur, trop violent, si cruel, voilà les mots qui reviennent toujours. Même toi, tu finis par te convaincre que la froideur finira par stopper les battements de ton cœur. Sans la moindre état d'âme, tu montres ta fermeté, et parfois lorsque tu t'observes dans le miroir alors que cette main va frapper cette fille terrifiée, alors tu te dis que ton père, cet étranger, n'a eu qu'une mauvais influence sur toi. Cette rage intérieure, tu ne la maitrises pas, elle te possède, te transforme, te transcende.

Alors, qu'en au loin, tu entends des cris, une dispute, ou plutôt une hystérique, ton sang ne fait qu'un tour. Tu traverses le club, furieux, la haine dans le regard. Personne ne doit perturber cette nuit de débauche, et celui qui ose s'aventurer sur ce terrain risque de subir ton humeur massacrante. Une femme, une métisse, un moment, tu espères qu'il ne s'agit pas d'elle, même si l'évidence est flagrante. Cette tigresse, elle était riche, une proie redoutable, loin de tes standards habituels. Une beauté sauvage, indomptable, à ton image. Elle n'était pas du genre à respecter les codes, ni la bienséance de l'élite, elle avait ses règles, son monde, ses envies, une tornade qui déchaine passion, et haine. Un doux mélange de torture, de violence qui enivrent les sens. Avec elle, il fallait être 10, peut-être 20 hommes à la fois, toujours avoir un plan b, être prêt à l'impossible, à l'indécence, et à frôler les limites du raisonnable. La frontière entre tentation, et admiration est fine, encore plus quand il s'agit de Skyler. Tu sépares les deux individus, d'un geste sec, net précis, en sortant d'un recoin sombre. Tu bondis littéralement sur ta victime, comme un félin prête à la déchiqueter. Ton regard se pose sur Skyler, folle de rage, une furie, une hystérique. "Putain, c'est quoi ton problème ?" Tu voulais des réponses, impossible de continuer cette conversation à l'intérieur du club. "DEHORS !" Tu cris, ton corps tremble tellement cette colère monte en pression, tu attrapes le mec par le col, direction l'arrière du club, une petite ruelle pas très bien éclairée, et involontairement, il termine sa course contre le mur. La tigresse n'est pas bien loin, elle te colle, fulmine, insulte, s'emporte, et tu l'ignores, simplement. Pour le moment, ton problème, c'est le mec qui saigne du nez, pleurniche dans son coin comme un con. "Toi, tu fermes ta gueule" Et l'instant d'après, tu reçois une canette, ouais une putain de canette ... Non, mais il était sérieux le mec, il jette des ordures sur toi, comme un moyen de défense, minable. Tu l'attrapes de nouveau pas le col, il ne touche plus le sol : "Une fois que j'en aurais terminé avec toi, tu seras méconnaissable, même ta mère ne pourra pas t'identifier" Ton poing serré, tu cognes, comme dans un vulgaire punching-ball, ta main se couvre doucement de sang, un mélange du sien et du tien tant tu ne contrôles plus ta force. Au bout de quelques minutes, tu le lâches, son visage est tuméfié, rougeâtre. "Dégage, maintenant" Tu le laisses partir, ta main saigne, mais tu n'as pas mal, non, maintenant, tu allais devoir gérer l'indomptable, et si elle pensait avoir tout vu, clairement, ce n'était qu'un vague prélude.
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Skyler H.-Coalman
COMPTEUR ARRÊTE + i don't care
Skyler H.-Coalman
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J'ai posé mes bagages en ville le : 25/11/2015 et depuis j'ai pris l'avion : 107 fois ce qui m'a fait gagner : 18 Sinon vous avez remarqué je ressemble à : rihanna

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Sujet: Re: (SKYLER) Tonight we burn   Sam 28 Nov - 23:50

Une soirée. Comme les autres, comme toutes les autres depuis des semaines des mois, des années. Je viens ici, boire, regarder, ses filles se trémousser à moitié à poil sur une barre écrasant leur dignité pour quelques billets en fin de semaines, de mois. Quelle piteuse idée de travailler pour des Russes. Les Russes. Pas n’importe lesquels. Cette famille-là. Ils ont tous des soucis, ou plutôt ce qui doit être une fierté dans leur rang. Avoir un casier judiciaire, vivre du cul des autres, littéralement. Faire tourner l’entreprise familiale quoiqu’il arrive. Ces filles, qui se déshabillent lentement, dansant. J’ai de la peine pour elle, en même temps une admiration. Rester là, continuer ce travail malgré toutes les remarques. Malgré tous ces types en chaleur, prêt à tout surement le calbut bien remplis. Hééé ! Une main furtive passe à coté de moi, de mon sac ouvert, bien trop exposé à la lumière. Toi ! Je me relève, violemment, le tabouret du bar qui fini sa chute, au sol, un vacarme qui stop le voleur. Petit con. Fils de pute ! Rends-moi ça ! Du fric. Du putain de fic qu’il compte embarquer sans rien recevoir par la gueule. Plantée devant lui. Des gestes bien largement grossiers qui lui expriment mon amour à son égard. Son petit regard de vicieux. Pervers ! Main qui se balade gentiment vers mon décolleté comme pour m’aguicher. Tenter de laisser passer. Ma main sur sa joue, une gifle, violente. Ma peau qui claque contre lui. Ma peau qui défoule cette haine. OSES ME TOUCHER SALE MERDE ! Prête à lui bondir dessus. L’étriper. Arracher ses yeux, ses ongles, lentement, gentiment. Qu’il hurle mon nom avant de crever comme un clébard. Personne ne me regarde mal. Personne ne me vole du fric ! Lui. Ce mec, qui me passe devant, me retient. Il se met entre nous. Putain c’est quoi leur problème à tout ce soir ? Putain, c'est quoi ton problème ? Merde ! Il empoigne littéralement le col de ce type, mon fric dans sa putain de poche, embarqué par le russe. Je veux le tuer, lui, sa mère, son chien. Sa tante. Toute sa p’tite famille de Poutine bis. Il est énervé, violent. Le pauvre mec s’en prend pleins la gueule, pas qu’un peu. Je reste en retrait, les bras croisés à regarder la scène, un brin contente de ce que je vois. La violence, presque une source d’énergie. Je me sens bien, presque apaisé ses quelques instants de torture pour ce type, ce connard. A en oublier qu’il porte mon fric, sur lui. Qu’il se barre, AVEC MON PUTAIN DE FRIC ! Merde, MERDE ! J’avance de quelques pas, comme pour le suivre dans sa fuite, mais il est déjà bien trop loin, il fait nuit et sa caille. Merde. Je me retourne, ce mauvais regard. Regard de furie vers ce type. Ce vieux de presque dix ans de plus que moi. Ce type aux poings un peu trop serrés, rouges. Rien à foutre. C’est quoi ton putain de soucis ? Tu t’approches de lui, violemment, tes mains qui le repousse à son torse, qui ne bouge pas beaucoup sous ta force pas très tenace, face à lui. Vas t’faire foutre sale connard ! IL S’EST BARRÉ AVEC MON ARGENT ! Je recule, quelques pas, énervés, à ne pas pouvoir poser les yeux sur lui. Les mains tremblantes de colère, mon pied qui fracasse dans cette poubelle, métallique. Un vacarme dans la ruelle. Vacarme même pas assez élevé pour se monter à hauteur de mon agacement. Tu sais pas garder tes putains de mains dans tes putains de poches d’merde ! Je lui fais dos, mains sur mes hanches, je veux pas le voir, pas le regarder. Je marmonne, quelques mots, chuchotés. Fils de pute.
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Sujet: Re: (SKYLER) Tonight we burn   Jeu 3 Déc - 13:07

The electrical fire is taking up my oxygen



T'es pas fier de toi, mais tu te sens mieux, les mecs qui foutent le bordel, c'est même pas la peine, c'est direction : la poubelle. T'efface vaguement les traces de sang sur ton pantalon, ouais, il va falloir que tu te changes : encore une fois, t'as abusé, tu le sais, à la limite, un simple avertissement ça suffit, mais ton sang n'a fait qu'un tour, c'est plus fort que toi, tu ne contrôles plus rien, t'es une bête. Merde, MERDE ! Franchement, tu t'attendais à un remerciement, même si la tigresse n'a jamais été du genre à te dire "merci", pour le coup, tu espérais mieux. Tu n'es pas son héro, tu ne voulais pas qu'elle te saute dans les bras, qu'elle te roule une pelle juste pour te prouver que tu es le plus beau, le plus grand, même si finalement, le roulage de pelle aurait pu être intéressant. Etrange, la colère de la métisse n'était pas calmée, elle te repousse, ou plutôt tente de te bousculer, te repousser. Vas t’faire foutre sale connard ! IL S’EST BARRÉ AVEC MON ARGENT ! Son argent ? Elle ne peut pas être sérieuse. Tu esquisses un sourire ... Alors tout ce cinéma à cause d'un petit voleur ? Quoi, il lui avait volé 20 euros ? Cette pensée, elle t'a fait rire. C'est con, mais la situation dépasse l'entendement. Tu as perdu ton temps à régler des histoires de gaminerie. Cette fille là, elle est blindée, elle n'hésite pas à s'en vanter, presque à l'afficher sur son front. Elle se recule, énervée, sans jamais poser un regard sur toi. Tu croises tes bras d'un air sérieux, improbateur. Ses mains tremblent, son pied fracasse une pauvre poubelle qui n'avait rien demandé à personne, le vacarme remplace le silence. Tu sais pas garder tes putains de mains dans tes putains de poches d’merde ! Elle tourne en rond comme dans une cage, toi, tu t'attends à montrer prochainement sur le ring, prêt à encaisser les coups. Tu veux pas arrêter tes conneries ? Combien t'as perdu ? 20 ? 30 ? 40 ? allez, 50 ? Tu sors ton portefeuille de ta poche arrière, balance vulgairement un billet de 50. Elle chuchote des insultes, tu comprends pas, trop loin, trop bas, elle tente de se contenir, mais c'est peine perdu. Est-ce qu'un putain de merci, c'est trop te demander ? Tu gâches une partie de ta soirée pour elle, et encore, tu t'en prends plein la gueule, non mais tu hallucines, tu es vraiment dans une autre dimension. Enfin, c'est vrai qu'à la base, ce n'était pas spécialement pour elle, mais qu'importe, malheureusement elle était dans l'affaire, va savoir pourquoi, elle ramène toujours des emmerdes. Tu t'approches de la furie, attrape fermement son visage, la force à te regarder, te faire face Et la prochainement que tu m'insultes de sale connard, tu auras le droit au vrai connard. Tu l'as repousse, violemment, elle termine par terre, à tes pieds. Voilà, la bonne position, digne de ton rang. Tu tournes les talons, il est temps que tu partes, tu as assez perdu de temps. Seulement, elle ne semble pas du même avis.
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